10 octobre 2024
Actuellement, la thématique de la mobilité électrique est un sujet brûlant, qui tient en haleine politiques, particuliers et entreprises. La semaine dernière, le Parlement européen a voté l’interdiction de vente de véhicules particuliers (VP) et de véhicules utilitaires légers (VUL) thermiques neufs dès 2035. Un grand pas en faveur de la mobilité électrique, qui fait de l’UE la première et seule région au monde à passer au tout-électrique ! Cependant, pour soutenir cette transition, un déploiement massif des infrastructures de recharge est nécessaire. Nombreux sont les acteurs qui agissent sur ce marché de niche, à l’image d’IECharge.
Dans un contexte où les solutions de mobilité décarbonée ont le vent en poupe, le cabinet de conseil Deloitte vient de publier une étude sur les tendances de la consommation automobile. Pour réaliser cette enquête, 26 000 personnes ont été interrogées, issues de 24 pays dont la France. La première conclusion de ce rapport est sans appel : au niveau mondial, un véritable basculement vers la mobilité électrique se dessine. En parallèle, l’intérêt des consommateurs pour les véhicules électriques (VE) s’accroit fortement.
Cependant, les motivations qui amènent les utilisateurs à se doter d’un VE ne sont pas forcément celles que l’on attendait. Alors que les gouvernements ne cessent de souligner la nécessité d’agir concrètement face au changement climatique, c’est avant tout l’économie des coûts d’exploitation qui convainc les conducteurs à se tourner vers la mobilité électrique. Ensuite, l’expérience de conduite, les subventions étatiques et la diminution de la maintenance sont les autres arguments qui justifient le passage à l’électrique. Les considérations environnementales arrivent en 5ème position.
Alors qu’en moyenne 70% des recharges s’effectuent à domicile en France, l’un des principaux freins à l’adoption d’un VE reste les préoccupations relatives à l’autonomie du véhicule et le nombre de solutions de recharge disponibles. De plus, les conducteurs ne souhaitent pas passer trop de temps à recharger leur véhicule lors qu’ils effectuent un long trajet. Les solutions de recharge haute puissance ont donc une carte à jouer sur le marché en pleine croissance de la mobilité électrique.
Ce constat, IECharge l’a bien compris et souhaite, avec ses bornes des territoires, offrir une solution de recharge fiable, simple d’utilisation, efficace et digitale en zones rurales et péri-urbaines. En proposant des stations de recharge dans les zones pauvres en infrastructures de recharge, l’entreprise répond concrètement aux préoccupations des consommateurs, qui souhaitent disposer de nombreux points de recharge lors de leur trajet, en particulier dans les zones blanches. De surcroit, l’offre d’IECharge veut favoriser l’adoption du VE aux futurs utilisateurs, en proposant le tarif de recharge le plus abordable du marché, à 0.30€/kWh
L’étude de Deloitte fait également état d’une préoccupation des conducteurs de VE concernant les moyens de paiement sur les stations de recharge. Très largement, ceux-ci préfèrent payer par carte bancaire ou via une application smartphone dédiée. Là encore, IECharge répond parfaitement aux attentes des utilisateurs. Avec leurs trois moyens de paiement (carte bancaire, application mobile IECharge ou carte de recharge EV), les bornes des territoires permettent de régler rapidement, de manière fluide et sans attente.
Il découle des principales conclusions du rapport Deloitte l’importance de déployer rapidement des infrastructures de recharge haute puissance, à large échelle. C’est justement la mission que s’est donné IECharge, qui ambitionne de démocratiser la recharge électrique dans les zones rurales et péri-urbaines.
En France, dans un premier temps, et bien au-delà par la suite !